Projets DNS

Le DNS… Mais qu’est ce que le dns au faite ?

Le DNS (Domain Name System) est un système de noms de domaine qui convertit les noms de domaines en adresses IP pour permettre à des ordinateurs de se trouver sur Internet. C’est un peu comme un annuaire téléphonique pour les noms de domaines, associant des noms mémorisables à des adresses IP numériques. Le DNS est un élément crucial de la navigation sur Internet, car il permet aux utilisateurs de se connecter aux sites web en tapant simplement leur URL au lieu d’une adresse IP difficile à mémoriser.

Ainsi..

  Dans le cadre d’un entrainement en cas de panne majeure, mon tuteur m’a appris comment mettre rapidement en place un service DNS sur Debian9 ou 10 comprenant un serveur principal dit maître et un second dit exclave. Mais avant de rentrer dans les détails techniques, une explication de ce qu’est le DNS s’impose :

Le DNS , Domain Name System, est un service informatique qui traduit les noms de domaine Internet en adresse IP ou autres enregistrements. Pour faire simple, le DNS est l’ombre d’internet permettant ainsi d’aller sur un site sans avoir à apprendre son IP par cœur.

D’autres notions sont utilisés dans le DNS comme les extinctions qui reflètent le type de site internet et son objet (org = organisation, com = commercial, net = network, fr = France, gouv = gouvernement … )

Entre autre, nous allons créer les clefs avec la commande dnssec-keygen :

Cette commande créera deux fichiers contenant l’un une clef publique et l’autre la clef privée. La clef publique sera donnée aux autres serveurs pour s’identifier et la clef privée restera sur le serveur initial.
 
Dans le fichier named.conf, ajouter les lignes suivantes :

// * TSIG *
key test-test {
algorithm hmac-sha512;
secret « La clef se situe dans le fichier qui fini par .private »
} ;

Pour finir sur le maître, ajouter la ligne suivante dans /etc/bind/named.conf.options :

Maintenant passons au secondaire, commençons par modifier le fichier named.conf et ajouter :

Key dns-dns. {
algorithm hmac-sha512;
secret  » La clef se situe dans le fichier qui fini par . private « ;
};
Ip primaire {
keys {
xxx-xxx.;
};

C’est bon, votre service BIND9 est installé avec succès. Je vais maintenant vous expliquer comment l’utiliser. On va ici prendre un cas d’école : on veut ajouter un enregistrement DNS exemple.com

On va commencer par aller dans le fichier /etc/bind/named.conf.local et on va ajouter ces lignes :

Ensuite nous allons créer ce fichier db.exemple.com à l’emplacement indiqué ci-dessus pour y indiquer des informations telles que les IP :

Pour analyser ce fichier on va le couper en deux parties

Dans cette partie on va retrouver les informations relatives à l’administration et à la validité des informations

On y retrouve notamment :

  exemple.com.C’est votre nom de domaine, attention : ne pas oublier le point.
INSignifie internet, c’est à dire que la zone après le IN Est destinée à internet
SOAStar Of Authority indiquant le serveur de nom faisant autorité c’est à dire votre DNS principal.
ksxxxx.kimsufi.com.DNS principal de votre domaine
email@example.comAdresse email (valide de préférence)
il faut remplacer le @ par un point et on termine par un point également.
1H$TTLTTL (Time to Live) pour cette zone. Temps pendant lesquels les informations de la zone peuvent être considérées comme valides et être mises en cache
2011041902SerialN° de série à incrémenter à chaque modification de ce fichier. Par convention, on écrit : année-mois-jour-numéro_à_2_chiffres.
1HRefreshA l’expiration du délai Refresh, le serveur esclave va entrer en communication avec le maitre, s’il ne le trouve pas, il fera une nouvelle tentative au bout du délai Retry, si au bout du délai Expire il
considérera que le serveur n’est plus disponible.
15MRetryNombre de secondes avant d’effectuer une nouvelle demande au serveur maître en cas de non-réponse.
2WExpireTemps (en secondes) d’expiration du serveur principal en cas de non-réponse.
3MMinimum TTLDurée de vie minimum du cache en secondes

Passons maintenant à la deuxième partie :